Les différences fondamentales entre les peaux et leurs traitements étant acquises, il faut maintenant les appliquer. Fini la goutte de sueur en situation de perdition face à un vendeur vous vantant les mérites de son blouson : « à ce prix-là c’est donné pour cette qualité de cuir ! »
Cependant n’oubliez pas : un cuir peut être de qualité moyenne et vous plaire tant par son look que par son prix ! Il n’y a pas de vérité absolue, et il faut bien le reconnaitre, les goûts de chacun sont bien différents (et l’on a pas tous un SMIC à mettre dans un blouson de moto).
Basez-vous sur votre feeling, la première impression est souvent intéressante, n’hésitez pas à utiliser vos sens pour mieux apprécier la pièce devant vous ; regardez-la bien de près, touchez-la, sentez-la.
Les sens pour choisir son cuir
La vue permet sans doute de déceler au mieux la qualité du produit.
Tout d’abord penchons-nous sur les éventuelles imperfections. Forcement communes aux cuirs les plus distribués, à moins de payer une fortune, vous en trouverez. Par contre, 2 éléments sont à éviter : les piqures ; sorte de boursouflure, et les veinures très marquées ; comme un sillon irrégulier tracé dans le cuir.
Essayez de trouver une pièce en présentant le moins possible. De toute manière, une énorme majorité de ces défauts n’est pas visible.
Le grain de la peau qui caractérise le « dessin » à la surface du cuir peut être fin, parfois même quasi invisible comme par exemple sur de belles peaux d’agneaux, ou au contraire plus marqué. Ici pas de notion de « meilleur », cela dépend clairement de votre goût.
Sachez cependant que pour les cuirs de veau, buffle et vachette, plus le grain sera régulier, plus la peau sera de bonne qualité.
Je le répète mais un beau cuir n’a besoin que de peu de traitements. Si vous avez l’impression qu’il a été bombardé de produits chimiques, qu’il ressemble plus à du plastique que du cuir, qu’il brille de 1000 feux, dites-vous qu’il y a un souci.
Le cuir, quel qu’il soit selon moi, doit refléter naturellement la lumière. Ce n’est pas une notion si évidente à se figurer, mais la lumière doit se diffuser de manière homogène à sa surface et mettre en avant son grain. Si au contraire, vous avez l’impression qu’il réagit à la lumière de manière non-naturelle, il est plus probable qu’il ait subi de nombreux traitements pour cacher la mauvaise qualité de la peau.
Il n’y a pas de secret, si le cuir est très brillant et son prix d’achat faible, vous savez à quoi vous attendre.
Les finitions sont également un bon indicateur du souci apporté à la pièce. Testez les zipper, regardez la qualité des coutures, vous verrez en quelques coups d’œil si la veste a été faite à l’économie ou pas. Détail intéressant, certaines marques proposent d’ailleurs des zips aimantés pour éviter qu’ils ne se baladent et fassent du bruit (principalement sur des modèles plus lookés sportif).
Prenez également un peu de temps pour apprécier la qualité des boutons, des pressions, de leur raideur. Rien n’est plus énervant qu’une veste qui s’ouvre sans cesse car ses boutons ne sont pas de bonne qualité. Prenez le temps de voir si le fabricant a ajouté des petites pièces de tissu ou de cuir pour apporter plus de confort et de détails (des poches intérieures bien finies, un anneau pour des clés, le nom de la marque sur les boutons, des languettes en cuir, etc…)
Si le produit présente des bourrelets de matelassage, souvent aux épaules et coudes, regardez la qualité de la couture et intéressez-vous à leur réalisation. Certains deviennent vite plats car le cuir travaille et s’écrase sur lui-même finissant par perdre le bel aspect bombé, ou parce que le rembourrage est de mauvaise qualité à l’intérieur.
Généralement si votre cuir a des coutures dans tous les sens, à moins que ce ne soit un délire esthétique, cela signifie qu’il s’agit de plusieurs peaux assemblées les unes avec les autres et donc potentiellement de qualités légèrement inégales. Certaines marques haut de gamme se vantent de faire des dos complets sans aucune couture, gage de la qualité de la bête et de sa peau.
La doublure est aussi un bon indicateur. Si elle est en satin (ou touché satin), elle vous garantira un enfilage facile. À défaut de faire toute la veste, si les manches en sont au moins doublées, c’est un bon signe. Essayez-la et jugez les zones de tension. En position classique sur votre moto, elles ne doivent pas tirer outre mesure. D’ailleurs sur les bons cuirs de moto, une grande partie des coutures sont triples, garantissant une meilleure résistance et tenue dans le temps. Nous parlons de produits qui vont servir de façon intense et prolongée, subir des tensions, il ne s’agit pas d’un cuir pour aller se promener à pied un dimanche ensoleillé.
Tout ce qui vous semble fragile ou peu pratique lors de l’essayage vous tapera sur les nerfs une fois que vous aurez fait 1000 km en moto. Par contre, dans la phase d’essai, inutile de lever les bras au-dessus de la tête et de dire que les manches sont trop courtes ou que le cuir remonte. À moins que vous rouliez sur un chopper super énervé, vous ne serez jamais dans cette position. Adoptez les poses d’un usage classique c’est à dire avec les bras aux 3/4 tendus à hauteur de vos pectoraux. 90% des motos ont une position de cet ordre et surtout à l’usage pédestre le cuir sera bien proportionné (la longueur de manche, la largeur au niveau de la taille etc…)
Pour le cheval et le buffle, plus rigides que les autres cuirs, vérifiez bien au niveau de coudes que le pli de la manche ne vous coupe pas la circulation sanguine.
Un bon cuir, en général, ne se détend pas. Par contre, il aura tendance à s’assouplir, nuance importante.
Si vous avez l’opportunité de voir le cuir et sa tranche, sachez qu’un cuir de basse qualité n’est souvent tanné que sur la surface alors qu’un bon cuir l’est dans toute sa profondeur. Inspectez cette fameuse tranche (si c’est possible suivant le cuir) et regardez la position des différences de couleur.
Personnellement j’apprécie quand le bas du dos est légèrement plus long que l’avant. Vous avez déjà tous vu ce motard devant vous avec le cuir trop court qui laisse apparaitre le début de son « sourire de plombier », pas terrible !
Le toucher est également une phase importante de votre processus d’achat. Concrètement il faut que vous ayez l’impression de palper un morceau de peau et non un morceau de plastique. Ici n’oubliez pas les différentes qualités de peaux (pleine fleur, fleur corrigée, croute de cuir) et leurs traitements (aniline, semi-aniline, pigmenté) que nous avons pu voir dans l’article Guide : comment choisir un beau cuir ? Partie 1.
À titre d’exemple, l’agneau aniline, de par la finesse de son grain et la qualité de son traitement vous semblera extrêmement doux au toucher, idem pour le veau.
En ce qui concerne la vachette, le grain étant plus large, il sera plus granuleux, un peu plus froid mais le toucher doit rester agréable pour avoir une qualité au rendez-vous.
Enfin, respirez-le, si ça sent la chimie, le cuir a surement été très traité.
Les intempéries
Que celui qui ne s’est jamais pris une averse à moto avec son cuir aille jouer au loto immédiatement. Pas mal de marques utilisent l’argument du cuir « étanche » ou du « résistant à l’eau ».
Clairement, il faut savoir de quel procédé il s’agit. Certaines maisons appliquent une sorte de cire en surface pour retarder l’absorption de l’eau par le cuir, mais cette protection aura tout de même ses limites en cas de pluie prolongée.
Au contraire, d’autres le gavent de produits chimiques et du coup emprisonnent la peau dedans, la saturent (avec toutes les incidences que cela implique).
Selon moi, un bon cuir n’est pas fait pour résister des heures sous la pluie. Vous pouvez prendre une averse mais pas faire Paris-Marseille sous des trombes d’eau et arriver sec (si vous tenez vraiment à rouler sous la pluie avec votre veste, il existe des mini K-WAY, très fin et pratiques qui le protégeront bien plus efficacement que n’importe quel traitement).
Par contre, ne le faites jamais sécher à côté d’une source de chaleur, cela lui donnera un aspect carton. Posez-le sur un cintre de bonne qualité, laissez-le sécher gentiment, et si besoin passez-lui de la crème pour bébé.
C’est d’ailleurs bien de le faire 1 à 2 fois par an, pour que votre cuir dure longtemps. Inutile de le faire à chaque sortie au risque de le voir s’assouplir de trop, ou de le rendre trop gras.
Toutes ces indications devraient permettre de vous aider à y voir plus clair. Attention, je précise à nouveau que nous avons énoncés les qualités optimales des cuirs, tout est aussi question de choix, de goût et de compromis face à votre budget. Vous serez néanmoins critique, plus aucun vendeur n’essaiera de vous vendre un cuir de moyenne qualité en le faisant passer pour l’affaire du siècle. Si vous n’avez pas le budget, je vous conseille d’attendre (pas toujours facile je sais 🙂 ) ou vous tourner dans un premier temps vers une solution textile qui peut afficher des qualités tout aussi bonnes pour un prix moindre ! Personnellement, je préfère me prendre un beau cuir qui me durera une vie (à moins que je devienne trop gros) plutôt que d’en avoir 2 que j’oublierais rapidement dans mon armoire..
Petit détail et pas des moindres : si le cuir n’est pas équipé de poches pour protections, ca se rajoute pour moins de 50€ chez votre retoucheur du coin et vous pouvez y glisser un pack de D3O ultrafine 🙂
Quelques exemples de marques de cuir
Pas facile de s’y retrouver face à la diversité du marché. Heureusement, voici une petite sélection de quelques marques et leurs gammes. Attention ce classement n’est ni exhaustif ni une vérité absolue, libre à vous de vous faire votre propre avis ! Nous n’aborderons pas le cas des cuirs super haut de gamme, généralement des maisons de couture, car nous sommes là pour faire de la moto avant tout 🙂
Les différences fondamentales entre les peaux et leurs traitements étant acquises, il faut maintenant les appliquer. Fini la goutte de sueur en situation de perdition face à un vendeur vous vantant les mérites de son blouson : « à ce prix-là c’est donné pour cette qualité de cuir ! »
Cependant n’oubliez pas : un cuir peut être de qualité moyenne et vous plaire tant par son look que par son prix ! Il n’y a pas de vérité absolue, et il faut bien le reconnaitre, les goûts de chacun sont bien différents (et l’on a pas tous un SMIC à mettre dans un blouson de moto).
Basez-vous sur votre feeling, la première impression est souvent intéressante, n’hésitez pas à utiliser vos sens pour mieux apprécier la pièce devant vous ; regardez-la bien de près, touchez-la, sentez-la.
Les sens pour choisir son cuir
La vue permet sans doute de déceler au mieux la qualité du produit.
Tout d’abord penchons-nous sur les éventuelles imperfections. Forcement communes aux cuirs les plus distribués, à moins de payer une fortune, vous en trouverez. Par contre, 2 éléments sont à éviter : les piqures ; sorte de boursouflure, et les veinures très marquées ; comme un sillon irrégulier tracé dans le cuir.
Essayez de trouver une pièce en présentant le moins possible. De toute manière, une énorme majorité de ces défauts n’est pas visible.
Le grain de la peau qui caractérise le « dessin » à la surface du cuir peut être fin, parfois même quasi invisible comme par exemple sur de belles peaux d’agneaux, ou au contraire plus marqué. Ici pas de notion de « meilleur », cela dépend clairement de votre goût.
Sachez cependant que pour les cuirs de veau, buffle et vachette, plus le grain sera régulier, plus la peau sera de bonne qualité.
Je le répète mais un beau cuir n’a besoin que de peu de traitements. Si vous avez l’impression qu’il a été bombardé de produits chimiques, qu’il ressemble plus à du plastique que du cuir, qu’il brille de 1000 feux, dites-vous qu’il y a un souci.
Le cuir, quel qu’il soit selon moi, doit refléter naturellement la lumière. Ce n’est pas une notion si évidente à se figurer, mais la lumière doit se diffuser de manière homogène à sa surface et mettre en avant son grain. Si au contraire, vous avez l’impression qu’il réagit à la lumière de manière non-naturelle, il est plus probable qu’il ait subi de nombreux traitements pour cacher la mauvaise qualité de la peau.
Il n’y a pas de secret, si le cuir est très brillant et son prix d’achat faible, vous savez à quoi vous attendre.
Les finitions sont également un bon indicateur du souci apporté à la pièce. Testez les zipper, regardez la qualité des coutures, vous verrez en quelques coups d’œil si la veste a été faite à l’économie ou pas. Détail intéressant, certaines marques proposent d’ailleurs des zips aimantés pour éviter qu’ils ne se baladent et fassent du bruit (principalement sur des modèles plus lookés sportif).
Prenez également un peu de temps pour apprécier la qualité des boutons, des pressions, de leur raideur. Rien n’est plus énervant qu’une veste qui s’ouvre sans cesse car ses boutons ne sont pas de bonne qualité. Prenez le temps de voir si le fabricant a ajouté des petites pièces de tissu ou de cuir pour apporter plus de confort et de détails (des poches intérieures bien finies, un anneau pour des clés, le nom de la marque sur les boutons, des languettes en cuir, etc…)
Si le produit présente des bourrelets de matelassage, souvent aux épaules et coudes, regardez la qualité de la couture et intéressez-vous à leur réalisation. Certains deviennent vite plats car le cuir travaille et s’écrase sur lui-même finissant par perdre le bel aspect bombé, ou parce que le rembourrage est de mauvaise qualité à l’intérieur.
Généralement si votre cuir a des coutures dans tous les sens, à moins que ce ne soit un délire esthétique, cela signifie qu’il s’agit de plusieurs peaux assemblées les unes avec les autres et donc potentiellement de qualités légèrement inégales. Certaines marques haut de gamme se vantent de faire des dos complets sans aucune couture, gage de la qualité de la bête et de sa peau.
La doublure est aussi un bon indicateur. Si elle est en satin (ou touché satin), elle vous garantira un enfilage facile. À défaut de faire toute la veste, si les manches en sont au moins doublées, c’est un bon signe. Essayez-la et jugez les zones de tension. En position classique sur votre moto, elles ne doivent pas tirer outre mesure. D’ailleurs sur les bons cuirs de moto, une grande partie des coutures sont triples, garantissant une meilleure résistance et tenue dans le temps. Nous parlons de produits qui vont servir de façon intense et prolongée, subir des tensions, il ne s’agit pas d’un cuir pour aller se promener à pied un dimanche ensoleillé.
Tout ce qui vous semble fragile ou peu pratique lors de l’essayage vous tapera sur les nerfs une fois que vous aurez fait 1000 km en moto. Par contre, dans la phase d’essai, inutile de lever les bras au-dessus de la tête et de dire que les manches sont trop courtes ou que le cuir remonte. À moins que vous rouliez sur un chopper super énervé, vous ne serez jamais dans cette position. Adoptez les poses d’un usage classique c’est à dire avec les bras aux 3/4 tendus à hauteur de vos pectoraux. 90% des motos ont une position de cet ordre et surtout à l’usage pédestre le cuir sera bien proportionné (la longueur de manche, la largeur au niveau de la taille etc…)
Pour le cheval et le buffle, plus rigides que les autres cuirs, vérifiez bien au niveau de coudes que le pli de la manche ne vous coupe pas la circulation sanguine.
Un bon cuir, en général, ne se détend pas. Par contre, il aura tendance à s’assouplir, nuance importante.
Si vous avez l’opportunité de voir le cuir et sa tranche, sachez qu’un cuir de basse qualité n’est souvent tanné que sur la surface alors qu’un bon cuir l’est dans toute sa profondeur. Inspectez cette fameuse tranche (si c’est possible suivant le cuir) et regardez la position des différences de couleur.
Personnellement j’apprécie quand le bas du dos est légèrement plus long que l’avant. Vous avez déjà tous vu ce motard devant vous avec le cuir trop court qui laisse apparaitre le début de son « sourire de plombier », pas terrible !
Le toucher est également une phase importante de votre processus d’achat. Concrètement il faut que vous ayez l’impression de palper un morceau de peau et non un morceau de plastique. Ici n’oubliez pas les différentes qualités de peaux (pleine fleur, fleur corrigée, croute de cuir) et leurs traitements (aniline, semi-aniline, pigmenté) que nous avons pu voir dans l’article Guide : comment choisir un beau cuir ? Partie 1.
À titre d’exemple, l’agneau aniline, de par la finesse de son grain et la qualité de son traitement vous semblera extrêmement doux au toucher, idem pour le veau.
En ce qui concerne la vachette, le grain étant plus large, il sera plus granuleux, un peu plus froid mais le toucher doit rester agréable pour avoir une qualité au rendez-vous.
Enfin, respirez-le, si ça sent la chimie, le cuir a surement été très traité.
Les intempéries
Que celui qui ne s’est jamais pris une averse à moto avec son cuir aille jouer au loto immédiatement. Pas mal de marques utilisent l’argument du cuir « étanche » ou du « résistant à l’eau ».
Clairement, il faut savoir de quel procédé il s’agit. Certaines maisons appliquent une sorte de cire en surface pour retarder l’absorption de l’eau par le cuir, mais cette protection aura tout de même ses limites en cas de pluie prolongée.
Au contraire, d’autres le gavent de produits chimiques et du coup emprisonnent la peau dedans, la saturent (avec toutes les incidences que cela implique).
Selon moi, un bon cuir n’est pas fait pour résister des heures sous la pluie. Vous pouvez prendre une averse mais pas faire Paris-Marseille sous des trombes d’eau et arriver sec (si vous tenez vraiment à rouler sous la pluie avec votre veste, il existe des mini K-WAY, très fin et pratiques qui le protégeront bien plus efficacement que n’importe quel traitement).
Par contre, ne le faites jamais sécher à côté d’une source de chaleur, cela lui donnera un aspect carton. Posez-le sur un cintre de bonne qualité, laissez-le sécher gentiment, et si besoin passez-lui de la crème pour bébé.
C’est d’ailleurs bien de le faire 1 à 2 fois par an, pour que votre cuir dure longtemps. Inutile de le faire à chaque sortie au risque de le voir s’assouplir de trop, ou de le rendre trop gras.
Toutes ces indications devraient permettre de vous aider à y voir plus clair. Attention, je précise à nouveau que nous avons énoncés les qualités optimales des cuirs, tout est aussi question de choix, de goût et de compromis face à votre budget. Vous serez néanmoins critique, plus aucun vendeur n’essaiera de vous vendre un cuir de moyenne qualité en le faisant passer pour l’affaire du siècle. Si vous n’avez pas le budget, je vous conseille d’attendre (pas toujours facile je sais 🙂 ) ou vous tourner dans un premier temps vers une solution textile qui peut afficher des qualités tout aussi bonnes pour un prix moindre ! Personnellement, je préfère me prendre un beau cuir qui me durera une vie (à moins que je devienne trop gros) plutôt que d’en avoir 2 que j’oublierais rapidement dans mon armoire..
Petit détail et pas des moindres : si le cuir n’est pas équipé de poches pour protections, ca se rajoute pour moins de 50€ chez votre retoucheur du coin et vous pouvez y glisser un pack de D3O ultrafine 🙂
Quelques exemples de marques de cuir
Pas facile de s’y retrouver face à la diversité du marché. Heureusement, voici une petite sélection de quelques marques et leurs gammes. Attention ce classement n’est ni exhaustif ni une vérité absolue, libre à vous de vous faire votre propre avis ! Nous n’aborderons pas le cas des cuirs super haut de gamme, généralement des maisons de couture, car nous sommes là pour faire de la moto avant tout 🙂
Haut de gamme
Roars Original
Addict Clothes Japan
Lewis Leather
Thedi Leathers
Angry Lane
The Real Mc Coy
Vanson
Aero Leather
Moyenne de gamme
Helstons (notamment leur collaboration avec Chevignon très réussie)
Segura avec sa gamme Segura 70
Roland Sands
Leather Monkeys
Merlin Bike Gear
Dainese 72
Merci d’avoir lu ce guide, en espérant avoir pu vous éclairer ! Très bonne route à vous !
Merci à Hugo pour la relecture !