Enceinte Klipsch The One II : La collaboration avec McLaren
Est une enceinte qui va vite ? Je ne sais pas. En tout cas, le savoir-faire de l’américain Klipsch et l’aura de McLaren se sont réunies dans un produit : la Klipsch The One II McLaren Legends. Une enceinte Bluetooth aux couleurs de l’écurie. On l’a reçue et on vous dit tout.
C’est qui Klipsch ?
L’histoire de Klipsch prend racine dans les années 1940, aux États-Unis, plus précisément à Hope, une petite ville de l’Arkansas.
Dans un vieux hangar en tôles transformé en atelier, Paul Wilbur Klipsch, le fondateur de la marque, passionné de musique et d’audio, se lance dans un défi audacieux : créer une enceinte capable de reproduire de manière parfaite le son vivant et riche d’un concert.
En 1946, année de la naissance de la marque, il réalise cet exploit avec le produit emblématique : l’enceinte Klipschorn. Aujourd’hui encore, Klipsch continue cette quête constante de la qualité à travers des expérimentations quotidiennes dans son centre de technologie acoustique de pointe à Indianapolis.
Et il faut dire qu’ils y arrivent. 75 ans plus tard, Klipsch est une référence du son.
La Klipsch The One II McLaren Legends
En préambule, loin de nous l’idée de se positionner en tant qu’audiophile. Certains (et sans doute meme certains d’entre vous) sont passionnés de son et l’on se doute qu’à la moindre approximation de notre part, on nous retrouverait avec un câble audio serré bien fort autour du cou…
Néanmoins, un bon son c’est comme un bon vin. Si c’est bon, mais que l’on arrive pas forcément à détecter le sous-bois, le champignon ou le myrtille, on ressent que c’est bien. Et on a envie de continuer. Et pour mettre écoute une 15 aine de morceaux de Joe Bonamassa (si vous connaissez pas… son duo avec Beth Hart est à tomber), je peux dire que j’ai bien aimé !
Reprenons au debut. Premier ressenti à la sortie de la boite, la The One II est lourde. On est TRES loin de l’enceinte Bluetooth plastique cheap. Ici c’est un bel objet, au look vintage et qui pèse son poids … 3,86Kg le beau bébé…
On est dans des inspirations Neo-retro, années 50 et au delà de la promesse d’un son de qualité, elle apporte une vraie touche de décoration à votre chez-vous. Elle est belle et l’on hésite pas à la montrer. Sur celle dont je dispose, le panneau supérieur en bois est aux couleurs de MC Laren et ce design « à l’ancienne » se marie parfaitement au style même de cette enceinte. Bon si vous préférez Ferrari ou plus de sobriété, elle existe dans d’autres coloris.
C’est beau, c’est bien fini, c’est en bois, c’est bien ajusté. Bref on sent l’amour et le savoir-faire de 75 ans de passion derrière tout ca.
Techniquement, 60 Watts amplifient deux bandes de 57mm en stéréo et un woofer central de 114 mm. En termes de boutons et connectiques, c est réduit au plus simple. Soit vous vous connecterez en Bluetooth soit via un port Mini Jack de 3,5mm. On pourra donc y brancher une platine vinyle par exemple … (clin d’oeil !)
Sur le dessus, un potentiomètre permet de choisir la source et un autre de régler le son. Basique je vous avais dit ! Mais que demander de plus.
En quelques secondes l’enceinte est connectée à mon téléphone, et je lance une musique. Et là verdict ! On retrouve ce son à l’américaine, avec de bonnes basses, un son rond comme je les adore. J’augmente progressivement le volume et le son se révèle encore plus. C’est dynamique, bien tenu, comme du miel pour les oreilles.
Et en voici la meilleure preuve : Alors que je la testais sur plusieurs morceaux, tout en la laissant s’exprimer à un volume…. agréable. Je vois un ami rentrer rapidement dans la pièce. M’apprêtant à me prendre une soufflante, il me dit « Le son est super bon, c’est quoi ?« . Comme je le disais un bon, c’est comme un bon vin. On ne sait pas toujours pourquoi mais ca met généralement tout le monde d’accord.
La The One II est à 299 euros (ici par exemple) et la McLaren à 349 euros
Pour plus d’infos allez jeter un coup d’oeil sur le site de Klipsch Directement !